mardi 31 juillet 2007

Haro sur le cannabis ce jour d'hui ...

Mais qu'ont-ils tous donc aujourd'hui ??
Tout (re)commence en Nouvelle-Zélande (car rien de bien nouveau sous le soleil de cette étude) et semble tomber à pic pour Gordon Brown ... je vous conseille la lecture (si la langue de Shakespeare ne vous rebute pas trop) des commentaires postés après l'article de The Guardian ...

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Un "joint" serait aussi nocif que cinq cigarettes
[2007-07-31 10:25]

LONDRES (Reuters) - Fumer un "joint" de cannabis est aussi nocif pour les poumons que cinq cigarettes, selon une étude publiée mardi par le Medical Research Institute of New Zealand.

Les recherches ont porté sur 339 personnes: des fumeurs de cannabis, des fumeurs de tabac, des personnes consommant les deux et des non fumeurs.

L'étude a montré que seuls les fumeurs de tabac souffraient d'emphysème (maladie causée par une dilatation des alvéoles pulmonaires), mais l'usage du cannabis est à l'origine d'un mauvais fonctionnement des poumons entraînant une respiration sifflante, de la toux et une sensation d'étouffement.

"L'importance du mal est directement liée au nombre de joints fumés, une consommation plus élevée entraînant une plus grande incapacité", écrivent les auteurs du rapport publié dans la revue médicale Thorax.

"L'effet de chaque joint sur les poumons équivaut à fumer d'affilée entre 2,5 et cinq cigarettes".

"Le danger du cannabis pour la santé pulmonaire n'est guère pris en compte", a déclaré Helena Shovelton, de la Fondation pulmonaire britannique.

La semaine dernière, des chercheurs britanniques ont conclu que la marijuana augmentait les risques de troubles psychotiques tels que la schizophrénie.





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Le cannabis obstrue davantage les voies respiratoires que le tabac --par Ray Lilley--
[31/07/2007 19:28]

WELLINGTON, Nouvelle-Zélande (AP) -- Le cannabis obstrue davantage les voies respiratoires que le tabac: une étude néo-zélandaise publiée mardi montre qu'un seul joint de marijuana entrave autant la circulation de l'oxygène que de deux à cinq cigarettes classiques.

En revanche, le risque de développer un emphysème pulmonaire (dilatation anormale et chronique des alvéoles pulmonaires) est beaucoup moins élevé chez les consommateurs réguliers de cannabis que de tabac, selon cette étude de l'Institut de recherche médicale de Nouvelle-Zélande à paraître dans le prochain numéro de la revue «Thorax».

S'ils sont moins sujets à l'emphysème, les fumeurs de haschisch peuvent toutefois développer à long terme des formes d'asthmes et de bronchites, présenter une respiration sifflante, souffrir de toux à répétition, de présence de glaires et de douleurs à la poitrine. Certains de ces maux sont également fréquents chez les fumeurs de tabac (sifflements, toux, glaires).

Mais c'est en matière d'obstruction des voies respiratoires que le cannabis se révèle bien plus nocif que le tabac. «L'étude montre qu'un seul joint de cannabis provoque un niveau similaire de problèmes pulmonaires que de 2,5 à cinq cigarettes», affirme son auteur principal, Sarah Aldington.

Seul domaine où les amateurs de «hasch» semblent moins mal lotis que les adeptes de la «clope»: la survenue d'emphysème pulmonaire. Seuls 1,3% des consommateurs réguliers de cannabis, suivis dans le cadre de cette étude, ont présenté les signes de cette maladie, contre 18,9% chez les fumeurs de tabac.

De précédentes études avaient montré qu'en fumant un seul joint on inhalait autant de monoxyde de carbone et de goudron qu'en fumant de trois à cinq cigarettes de la même taille. L'étude néo-zélandaise montre elle aussi que les «produits de la combustion» de la marijuana sont très similaires à ceux du tabac, selon Richard Beasley, directeur de l'Institut de recherche médicale de Nouvelle-Zélande, qui a participé aux travaux. AP






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Comment réguler la consommation de cannabis ? Le Premier ministre britannique Gordon Brown souhaite que le cannabis soit pénalement considéré comme une drogue dure. La chroniqueuse Jackie Ashley considère qu'il est "beaucoup plus important d'éduquer les gens sur les dommages cérébraux causés par le cannabis que de le changer de catégorie pour pouvoir sévir ensuite. (...) Le débat autour du cannabis est le même que celui qui a eu lieu dans les années 60 au sujet du tabac. Les données scientifiques sont là pour ceux qui se donnent la peine de les regarder (...). Les comparaisons avec le tabac (et à vrai dire l'alcool) sont utiles à rappeler, surtout si on prend en compte une donnée certaine au sujet du cannabis : on ne peut pas l'éradiquer par le biais de la police et la justice. Son usage est trop répandu, les réseaux de trafic et de distribution trop étendus, et la tolérance de l'opinion publique trop grande. (...) L'Etat surprotecteur a ses limites. Avec le cannabis, ce sont les faits, et non pas le doigt accusateur, qui pourront faire changer les choses."

Ou comment se prépare la troisième guerre mondiale ;o((

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Un drapeau russe pour revendiquer les profondeurs de l'Arctique --par Douglas Birch--
[30/07/2007 14:51]

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MOSCOU (AP) -- L'entreprise aura tout d'un symbole: des scientifiques espèrent plonger sous le Pôle Nord cette semaine afin d'y laisser une capsule en titane contenant un drapeau russe, signe de la revendication de Moscou sur la majeure partie des profondeurs de l'océan Arctique et de leurs richesses énergétiques potentielles.

Si ces efforts ne sont pas réduits à néant par l'épaisseur des glaces, ils pourraient marquer le début officiel d'une guerre diplomatique très froide pour l'Arctique, l'une des dernières frontières terrestres pour le secteur énergétique.

Le vaisseau de recherches «Akademik Fédorov» et le brise-glace nucléaire «Rossia», conduit par Artur Tchilingarov, 68 ans, le plus célèbre explorateur polaire de Russie mais aussi vice-président de la Douma, la chambre basse du Parlement, ont quitté Mourmansk mardi en direction du Pôle Nord. Durant le week-end, les chercheurs russes devaient procéder à des plongées test jusqu'à deux kilomètres de profondeur à bord de deux sous-marins miniatures près de la Terre Franz Josef, archipel russe dans l'Arctique. Une descente sous le Pôle Nord était prévue ce lundi ou mardi.

Cette expédition, la deuxième du genre en quelques mois, vise à appuyer les revendications de la Russie sur quasiment 1,2 million de kilomètres carrés de l'Arctique qui, d'après certaines estimations, contiendraient 10 milliards de tonnes en gisements de pétrole et de gaz. Rien d'étonnant donc à ce que le président Vladimir Poutine la juge «très importante», comme l'a déclaré le porte-parole du Kremlin à l'Associated Press.

Avec le recul de la banquise, que des scientifiques attribuent au changement climatique,
[NDG : Parce qu'il faut être scientifique pour en arriver à cette conclusion ;o)) ??]
les eaux de l'Arctique deviennent plus navigables et leurs richesses plus exploitables par un monde affamé d'énergie.
[NDG : Et bien sûr on va continuer à brûler les dernières sources fossiles d'énergie, histoire d'accélérer encore un peu le changement climatique. C'est vrai qu'elle ne fond pas assez vite cette fichue banquise ;o))]
Le phénomène constaté depuis le tout début du XXe siècle s'est au surplus accéléré durant la dernière décennie, selon l'Administration nationale américaine atmosphérique et océanique.

Les fonds largement inexplorés pourraient contenir de vastes gisements de gaz et de pétrole, alors que les réserves pétrolières récupérables de plusieurs pays bordant l'Arctique, dont la Russie, les Etats-Unis et la Norvège, s'épuisent rapidement.

Une centaine de scientifiques à bord de l»'Akademik Fédorov» vont tenter de trouver des éléments prouvant que la dorsale de Lomonossov, une ride montagneuse sous-marine de 2.000km reliant la Russie et le Groenland, est une extension géologique de la Russie, et que Moscou peut ainsi la revendiquer conformément à la Convention de l'ONU sur le droit de la mer. Les Nations unies avaient rejeté une première requête russe datant de 2002 mais le Kremlin pourrait soumettre un nouveau dossier en 2009.

Mais Moscou se heurte aux scientifiques danois qui espèrent prouver que la dorsale de Lomonossov prolonge le territoire du Groenland et non de la Russie. D'après Thorkild Meedom, du ministère danois des Sciences, des scientifiques danois et canadiens à bord de deux brise-glaces conduisent actuellement des études cartographiques dans la région.

Le 9 juillet, le Premier ministre canadien Stephen Harper avait annoncé que son pays envisageait de consacrer sept milliards de dollars à la fabrication de huit bateaux de patrouille dans l'Arctique, estimant que «rien n'est aussi fondamental que protéger l'intégrité territoriale du Canada».

Aller planter le drapeau russe au fond de l'Arctique ne revêt guère de signification, en pratique, puisque les revendications des différents pays se jouent à coup d'études scientifiques et débats à l'ONU, remarque Viktor Possiolov, membre de la précédente expédition russe menée au printemps. D'après lui, on ignore quelles sont les vraies ressources de cette région et les technologies nécessaires à leur exploitation restent à développer. En vérité, dit-il, «c'est une question qui se posera pour plusieurs générations après nous». AP


Et il serait plus qu'intéressant pour les générations futures qu'elles puissent gérer pacifiquement ce territoire comme c'est le cas du continent Antarctique. Malheureusement, l'appat du gain et les considérations géopolitiques liées à l'approvisionnement énergétique (si de nouvelles orientations ne sont pas prises rapidement) risquent de ne pas faciliter la mise en place de pareille gouvernance ;o((

lundi 30 juillet 2007

Et Monsanto va sans doute vouloir nous faire croire qu'il n'y est pour rien ;o((

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Une parcelle de maïs bio sabotée par un produit chimique
[2007-07-30 17:11]

BORDEAUX (Reuters) - Un agriculteur de Saint-Dos, dans les Pyrénées Atlantiques a porté plainte pour sabotage de parcelles de maïs biologique, rapportent lundi le président de la Fédération Bio-Aquitaine, Jon Harlouchet, et Patrick De Kochko, ingénieur agronome.

Cette parcelle composée de deux champs de 1.4 hectare et de 0.4 hectare était le sujet d'une "étude scientifique pour mesurer la contamination pollinique générée par des maïs OGM sur des maïs non OGM", dit un communiqué de Bio-Aquitaine.

Cette étude était complétée par une mesure de la contamination des pollens et miels des ruches d'apiculteurs voisins et faisait l'objet d'un suivi par un organisme de contrôle "Qualité-France" qui certifiait l'appellation "Bio" soumise à un cahier des charges du ministère de Agriculture.

La parcelle sur laquelle étaient plantées huit espèces différentes de maïs a été sabotée. Les plantes n'avaient pas un développement normal, "les feuilles jaunissaient, les maïs n'arrivaient pas à grandir".

L'agriculteur, Bernard Pouey, a porté plainte jeudi dernier auprès de la gendarmerie de Salies de Béarn qui a constaté que les parcelles "entourées par des OGM ont été aspergées d'un produit chimique qui en annule la floraison", dit le communiqué.

Si un sabotage était confirmé par les services de gendarmerie, il s'agirait d'une première en France.

Patrick De Kochko a expliqué que Bernard Pouey avait réservé une petite partie de sa parcelle "pour effectuer notre expérimentation".

"Nous avions d'ailleurs reçu une aide du Conseil Régional Aquitaine de 20.000 euros. Aujourd'hui, ce sabotage veut nous empêcher de démontrer que la coexistence entre maïs OGM et non OGM est impossible", a-t-il ajouté.

Jon Harluchet a précisé que son association et la Confédération Paysanne du Pays Basque ont aussi porté plainte dans cette affaire.

L'un des problèmes majeurs rencontrés par les membres de cette association et par les militants anti-OGM est de pouvoir localiser les parcelles OGM. En effet, la loi française permet uniquement de savoir la surface exploitée dans une commune mais non la localisation exacte.

En revanche, une directive européenne impose aux Etats membres la publication de registres publics destinés à informer les citoyens sur les emplacements de cultures d'OGM. Le gouvernement français n'a pas encore transposé cette directive.

Enfin des scientifiques qui se mouillent ...

... et qui arrêtent de se réfugier devant une prétendue impossibilité à lier les bouleversements climatiques observés au réchauffement en cours de notre planète ...


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Une étude lie réchauffement et multiplication des ouragans
[2007-07-30 07:26]

MIAMI (Reuters) - Le nombre d'ouragans qui se forment en moyenne au cours d'une saison dans l'Atlantique a doublé au siècle dernier, en partie à cause du réchauffement climatique, assurent des chercheurs américains dans une étude publiée dimanche.

Les conséquences de ce réchauffement sur le nombre et l'intensité des ouragans et des tempêtes tropicales fait l'objet d'un débat vieux de plusieurs années. Il y a quelques mois, l'influent Groupe intergouvernemental d'experts du climat (Giec) a toutefois jugé probable l'existence d'un lien entre la hausse des températures due aux activités humaines et l'intensité des ouragans.

La dernière étude, menée sous la direction de Greg Holland, du Centre national de recherches atmosphériques, et de Peter Webster, de l'Institut de technologie de Géorgie, découpe le XXe siècle en trois périodes distinctes.

Durant la première, de 1900 à 1930, l'Atlantique connaissait en moyenne six épisodes dépressionnaires importants, dont quatre ouragans et deux tempêtes tropicales. De 1930 à 1940, cette moyenne est passée à dix, donc cinq ouragans, avant de culminer à 15 (huit ouragans et sept tempêtes) entre 1995 et 2005.

"Ces chiffres apportent un indice important de l'influence majeure des changements climatiques dans l'augmentation du nombre d'ouragans dans l'Atlantique", souligne Holland, dans un communiqué.

Les sceptiques contestent toutefois les données du début du siècle, estimant que nombre d'ouragans se sont dissipés en mer sans avoir été répertoriés. Holland et Webster jugent quant à eux que l'amélioration des techniques d'observation, dans la seconde moitié du XXe siècle, ne peut à elle seule expliquer leur multiplication.

"Nous en arrivons à la conclusion solide que la récente augmentation de la fréquence des cyclones tropicaux est due en partie au réchauffement par effet de serre et il s'agit très probablement du facteur dominant", insistent les chercheurs.

Et pourquoi pas au frigo directement ?




Non mais ça va pas, ces fichus gros tarés d'américains ne sont donc vraiment pas capables de réfléchir (pourtant le cerveau a besoin de gras ;o))

Et le pire, c'est que ça s'exporte ;o((


Rafraichissons donc les gros pollueurs en augmentant la consommation énergétique et l'effet de serre ... c'est en effet ce que l'on a de mieux à faire en ce moment ...


Mais non, il ne ment pas le petit Nicolas ...


En voilà une analyse qu'elle est bien ...

Avant de vous faire entuber bien profond, lisez ça et ne venez pas dire ensuite que vous n'étiez pas au courant ;o((

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Service minimum dans les transports: «hypocrite et populiste», selon les Verts
[30/07/2007 09:58]

PARIS (AP) -- «Non à la remise en cause du droit de grève dans les transports!» s'exclame Yann Wehrling, porte-parole national des Verts, dans un communiqué qui dénonce une loi sur le service minimum «hypocrite et populiste».

«S'attaquer au droit de grève dans les transports, sous couvert de garantir à l'usager un 'service minimum', est hypocrite et populiste», écrit-il. «Que d'hypocrisie de la part de ce gouvernement», fustige-t-il en rappelant la baisse des subventions de l'Etat aux transports collectifs.

Selon Yann Wehrling, «le projet du gouvernement n'a pas pour objectif le dialogue social ni l'amélioration du service public. Il s'agit en fait pour lui d'avoir les mains libres en diminuant la capacité de résistance des salariés, face aux réformes à venir».

Après le Sénat, l'Assemblée nationale entame ce lundi l'examen du projet de loi sur le service minimum en cas de grève dans les transports terrestres de voyageurs. Le texte impose notamment aux salariés souhaitant faire grève de le déclarer au moins 48h avant le débrayage. En outre, si un conflit social dure plus de huit jours, un vote à bulletins secrets devra être organisé sur la poursuite du mouvement. AP

dimanche 29 juillet 2007

Enfin des téléphones portables utiles ;o))

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Opéré à la lueur de téléphones portables
[2007-07-29 11:12]

BUENOS AIRES (Reuters) - Surpris par une panne d'électricité, des chirurgiens de Villa Mercedes, dans le centre de l'Argentine, ont dû achever l'opération de l'appendicite qu'ils venaient d'entamer à la lueur de téléphones portables, rapporte samedi la presse.

Leonardo Molina, un patient de 29 ans, se trouvait sur la table d'opération de la policlinique Juan Peron lorsque la panne s'est produite, le 21 juillet.

"Le groupe électrogène, qui aurait dû fonctionner, ne s'est pas mis en route", a expliqué un représentant de l'établissement.

"Chirurgiens et anesthésistes se sont retrouvés dans le noir (...) Un membre de la famille (du patient) a mis ensemble des téléphones portables empruntés à des gens dans le couloir et leur a amenés pour qu'ils s'éclairent", a-t-il ajouté, interrogé par la chaîne de télévision TN.

Attention à ne pas fournir d'arguments à Bush et consorts !

Bien sûr que scientifiquement parlant, tous ces arguments se tiennent. Il n'empêche qu'il serait dommage qu'on attende la confirmation pour se mettre à lutter ;o((


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Eté extrême en Europe: rien ne permet d'accuser le changement climatique, selon des experts --par Elena Becatoros--
[28/07/2007 19:04]

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ATHENES (AP) -- C'est l'été le plus chaud en Grèce, le plus humide en Grande-Bretagne. Beaucoup évoquent déjà le réchauffement de la planète. Mais, pour les météorologues, ce n'est pas ce phénomène climatique à longue échéance qui fait la pluie et le beau temps à court terme.

«On ne peut pas attribuer tout ce qui arrive, tout ce qui est extrême, au changement climatique», note Mihalis Petrakis, qui dirige à Athènes l'Institut de recherche environnementale et de développement durable.

L'Europe a connu deux canicules en deux mois, ce qui est «inquiétant», admet-il. «Mais pour l'instant, on ne peut pas dire: c'est le changement climatique. On peut attendre pour voir si la fréquence se maintient sur les dix prochaines années, afin d'en tirer une conclusion logique. Mais la science ne travaille pas sur un seul échantillon».

Deux vagues de chaleur se sont abattues sur l'Europe méridionale depuis le début de l'été. En juin, Athènes étouffait par 46,9 degrés Celsius; jamais le mercure n'était monté aussi haut dans la capitale grecque depuis le début des relevés de températures en 1850.

Cette semaine, le gouvernement hongrois estimait que jusqu'à 500 personnes pouvaient être mortes prématurément à cause de la canicule. La sécheresse a rendu la forêt vulnérable dans les autres pays. De grands incendies ont dévoré la végétation dans certaines régions des Balkans et de l'Italie.

Dans le même temps, la Grande-Bretagne connaissait ses pires inondations depuis 60 ans. Sur la période mai-juillet, le temps n'a jamais été aussi humide depuis le début des relevés météo en 1766. Au 22 juillet, l'Angleterre et le Pays-de-Galles avaient reçu 387,6mm, battant de 18,5mm le record de pluviométrie établi en 1789.

Peter Stott, climatologue au Met Office britannique, estime qu'on ne peut pas imputer ces catastrophes au réchauffement de la planète. Même si «avec un climat plus chaud, il peut y avoir une hausse des épisodes de précipitations extraordinaires».

«Un climat plus chaud provoque plus de canicules et plus de pluies extrêmes. Ce sont les deux côtés d'une même médaille», souligne Stefan Rahmstorf de l'Institut pour la recherche climatique de Potsdam (Allemagne). «Le réchauffement de la planète fait augmenter les grosses averses parce que l'air chaud peut absorber plus d'eau». Il rappelle que le mois de juin avait été particulièrement chaud en Angleterre et que les climatologues n'ont donc pas été surpris par le déluge qui a suivi.

En aucun cas, les scientifiques ne relient les inondations en Grande-Bretagne à la canicule en Europe du Sud. «Autant que je sache, il n'y a pas de lien particulier entre ces anomalies», confie le Dr Nathan Gillett, climatologue à l'université d'East Anglia. «Aucune preuve ne suggère un lien entre le temps humide ici et le temps chaud dans le sud de l'Europe».

Selon lui, les cieux britanniques devraient devenir plus humides en hiver et plus secs en été. «Nous n'avons pas vu de tendance vers des étés plus pluvieux. Aucune preuve concluante n'indique que les événements de cet été sont liés au réchauffement climatique». AP

samedi 28 juillet 2007

Eh, Dominique, tu n'aurais pas besoin d'une immunité parlementaire ?

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Un député propose son siège à Villepin, mis en examen
[2007-07-28 19:11]

PARIS (Reuters) - Dans une interview au Journal du dimanche, le député UMP Jean-Pierre Grand propose son siège à Dominique de Villepin, mis en examen dans le cadre de l'affaire Clearstream.

L'ancien Premier ministre a été mis en examen vendredi pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux" par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons chargés de l'enquête.

Soupçonné d'avoir participé à une manipulation visant à nuire à Nicolas Sarkozy, il a fait appel du contrôle judiciaire qui lui a été imposé et qui prévoit le versement d'une caution de 200.000 euros ainsi que l'interdiction de rencontrer les protagonistes de l'affaire, dont l'ancien président Jacques Chirac.

"En traitant Dominique de Villepin comme s'il était à la tête d'un réseau de trafiquants de drogue, les juges et les policiers portent atteinte à la démocratie", estime Jean-Pierre Grand, qui avait comparé vendredi cette affaire à l'affaire Dreyfus.

"Nous sommes suffisamment nombreux comme députés à le soutenir pour que l'un d'entre nous fasse le geste politique fort de démissionner afin qu'il puisse siéger à l'Assemblée nationale."

"Je suis prêt à lui proposer le mien si cela peut être utile à la défense de son honneur et de la démocratie", ajoute-t-il.

...

Nicolas ne fait pas recette en Afrique ...

Paru dans l'édition de Ouest France du samedi 28 juillet 2007

Sarkozy au Gabon : fini le pré carré africain

Le discours de Dakar du président de la République qualifié d'« injure » par la presse sénégalaise.

Nicolas Sarkozy est arrivé, vendredi, au Gabon, troisième étape de sa tournée africaine après Tripoli et Dakar. Après un déplacement dans la forêt de la Mondah, le Président a annoncé la conversion d'une petite partie de la dette du pays à la France - 50 millions d'euros - en aide à la préservation et l'exploitation de la forêt gabonaise. À Libreville, où il a été accueilli par son homologue Omar Bongo, au pouvoir depuis 40 ans, il a écarté l'idée que l'enquête ouverte en France sur les somptueuses propriétés parisiennes du président gabonais pourrait « impacter » les relations bilatérales. « Que la justice fasse son travail et on verra bien », a déclaré le chef de l'État.

Autrement dit, les interférences liées au vieux système de la Françafrique seraient terminées. Nicolas Sarkozy a été plus explicite encore : la notion de « pré carré » africain est « un concept anachronique ... Cela renvoie à un paternalisme que je rejette. »

La presse sénégalaise n'en est pas convaincue. Elle commentait sévèrement, hier, le discours prononcé, la veille au soir, à l'université de Dakar. Nicolas Sarkozy avait reconnu la « faute » de la colonisation, mais exclu une « repentance » et appelé à une « Renaissance africaine ». Le quotidien Walfadjri titrait : « Sarkozy fait la leçon aux Africains. » Sud Quotidien parlait d'« injure » : pour ce journal, le Président a parlé « comme ces missionnaires venus en Afrique «civiliser» nos arrière-grands-parents ».


Big brother est déjà dans plus de 50 pays ;o((

Vous souvenez vous de mes interogations d'il y a deux jours ?


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La censure du Web prend de plus en plus d'ampleur, selon l'OSCE
[2007-07-27 20:07]

VIENNE (Reuters) - Plus de vingt Etats imposent des restrictions à l'utilisation d'internet, recourant à des mesures fourre-tout et contradictoires pour dissuader leur population de recourir au web et museler l'opposition, selon l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).

Dans un nouveau rapport sur la "gouvernance" d'internet, l'organisation présente des études de cas de censure du web au Kazakhstan et en Géorgie et se fait l'écho d'observations faites de la Chine à l'Iran, du Soudan à la Biélorussie.

"De récentes décisions, qui vont à l'encontre de la liberté d'expression sur internet dans un certain nombre de pays, rappellent cruellement combien il est facile à certains régimes, démocraties et dictatures confondues, de réprimer les opinions qu'ils désapprouvent, réprouvent ou simplement qu'ils craignent", dit le rapport de l'organisation, qui regroupe 56 pays dont certains sont épinglées par l'étude.

"Il n'a jamais été aussi facile de s'exprimer qu'avec internet. Mais simultanément, nous sommes témoins d'une progression de la censure en ligne", notent les auteurs de ce compte rendu de 212 pages.


jeudi 26 juillet 2007

Troc nucléaire : les réactions s'amplifient ...

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Tollé des antinucléaires après l'amorce d'une collaboration nucléaire entre Paris et Tripoli
[26/07/2007 17:46]

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PARIS (AP) -- Les organisations antinucléaires ne cachaient pas leur colère jeudi après l'amorce la veille par Nicolas Sarkozy d'une collaboration dans le nucléaire civil entre Paris et Tripoli, au lendemain de la libération des infirmières et du médecin bulgares.

La France et la Libye ont signé mercredi à Tripoli un «mémorandum d'entente sur le coopération dans le domaine des applications pacifiques de l'énergie nucléaire», alors qu'un peu plus tôt l'Elysée excluait officiellement de parler de «coopération nucléaire».

Un premier projet «éventuel» de collaboration porte sur la construction d'un «moteur nucléaire pour dessaler l'eau» et produire de l'eau potable, a expliqué Nicolas Sarkozy mercredi soir.

«Il y a déjà eu un premier repérage qui a été fait par des ingénieurs français voici trois semaines ou un mois», a précisé le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant sur France-Info. L'objectif est aussi selon lui d'envoyer un «signal politique fort»: que «des pays qui respectent les règles internationales sur l'énergie nucléaire comme la Libye peuvent disposer d'un équipement qui leur est nécessaire pour des besoins civils».

Un deuxième projet en discussion porterait sur la recherche de gisements d'uranium en Libye. «Areva a besoin d'uranium», a noté le président français.

Mardi, le réseau «Sortir du nucléaire» affirmait que la France avait échangé la libération par le colonel Moammar Kadhafi des infirmières et du médecin bulgares détenus depuis plus de huit ans par Tripoli contre la promesse de fournir à la Libye de la technologie nucléaire -des accusations alors fermement rejetées par le chef de l'Etat.

Mercredi, son porte-parole David Martinon assurait encore qu'il n'était «pas question» de parler de «coopération nucléaire» au cours de la rencontre entre MM. Sarkozy et Kadhafi à Tripoli. Finalement, le nucléaire faisait bien partie des accords.

«Il y a pas de lien entre la libération de ces malheureuses et les contrats éventuels», a réaffirmé mercredi Nicolas Sarkozy, en soulignant qu'aucun accord formel n'avait encore été signé et que cela pourrait prendre «plusieurs mois, voire plusieurs années». «Ce mémorandum n'est pas un accord de circonstance», a assuré également le ministère de Affaires étrangères dans un communiqué jeudi.

Nicolas Sarkozy a plaidé pour l'accès des pays arabes au nucléaire civil. «Si on ne donne pas l'énergie du futur aux pays du sud de la Méditerranée, comment vont-ils se développer? Et s'ils ne se développent pas, comment va-t-on lutter contre le fanatisme et le terrorisme?»

«La rançon» pour la libération des infirmières et du médecin bulgares, «c'est une centrale nucléaire» et «toute cette histoire d'une négociation diplomatique et humanitaire, c'est un mensonge», a tonné le député européen Vert Daniel Cohn-Bendit sur RTL. «La France a négocié et a livré une centrale nucléaire civile.»

«M. Kadhafi est un dictateur sanguinaire», a-t-il rappelé. «C'est complètement fou qu'on réhabilite maintenant les dictateurs en fonction du bon vouloir des gouvernants français (...) Je trouve ça écoeurant», a ajouté M. Cohn-Bendit.

«C'est un accord passé sur le dos de la libération de ces infirmières bulgares», s'est aussi insurgé jeudi sur Europe-1 le député Vert Noël Mamère. «Cet accord, c'est un accord passé avec un dictateur (...) patron d'un régime qui est un régime terroriste», a-t-il souligné. «Souvenons-nous de (l'attentat de) Lockerbie.»

La précipitation avec laquelle les choses se sont conclues démontre que «cette affaire politico-commerciale a été envisagée, voire négociée, bien avant la libération des infirmières», estime de son côté dans un communiqué le porte-parole des Verts Yann Wehrling, alors que le réseau «Sortir du nucléaire» reproche au président français d'avoir «menti» lors de sa conférence de presse mardi en niant l'existence d'un tel arrangement. Pour l'organisation, «M. Kadhafi n'a que faire de l'eau, son objectif est d'accéder à des technologies nucléaires».

Pour Greenpeace, la France est «irresponsable». «Cet accord pose un énorme problème de prolifération nucléaire et se situe dans la droite ligne de la politique française d'exportation irresponsable de sa technologie nucléaire», estime l'association écologiste.

Le Parti socialiste français quant à lui «demande au président de la République et à son gouvernement la plus grande transparence». «La normalisation des relations (avec la Libye) (...) doit s'opérer sous le contrôle du Parlement (comme c'est le cas dans toutes les grandes démocraties) et dans un cadre plus collectif, celui de l'Union européenne, et sous le contrôle de l'ONU», estime-t-il. AP

Ca a caillé mais il l'a fait ...

En lien avec cet article de la v1.0 ;o))

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Il nage sur un kilomètre au Pôle Nord dans une eau à moins 1,8 degré --par Melissa Gray--
[26/07/2007 03:29]

LONDRES (AP) -- Le 15 juillet dernier, Lewis Gordon Pugh a nagé sur un kilomètre dans les eaux du Pôle Nord pour sensibiliser la communauté internationale aux changements climatiques. Une expérience, il l'a assuré mercredi, qu'il ne souhaite même pas à son pire ennemi.

Ce Britannique diplômé en droit a mis exactement 18 minutes et 50 secondes pour couvrir ce kilomètre -distance minimale pour que la performance soit considérée comme une nage de longue distance- dans une eau à... moins 1,8 degré Celsius.

«Je pouvais à peine respirer, mes doigts et mes orteils brûlaient complètement», a confié Lewis Gordon Pugh à l'Associated Press mercredi. «Il est paradoxal que lorsqu'on se trouve dans des eaux absolument gelées, votre corps brûle de partout, et à chaque minute j'avais l'impression d'aller de plus en plus lentement, et tout ce que je me disais c'était: 'continue, continue Lewis».

«Je suis content de ne pas avoir mis une minute de plus», a-t-il expliqué au sujet du temps passé dans l'eau. «C'était vraiment un environnement terrifiant. Je ne le souhaite pas à mon pire ennemi».

Lewis Gordon Pugh a également expliqué qu'il avait pu réussir cet exploit grâce à sa capacité à élever d'un ou deux degrés la température de son corps. Un phénomène qui s'est produit, selon ses dires, en écoutant de la musique à un volume élevé alors qu'il s'approchait de l'eau.

Il a refusé de se couvrir de graisse, comme le font souvent les nageurs pour se protéger, par crainte des ours polaires. «Je voulais qu'on puisse me sortir de l'eau aussi rapidement que possible si un (ours) arrivait».

Auteur de plusieurs performances à la nage pour sensibiliser la population à la cause environnementale, Lewis Gordon Pugh s'était déjà illustré l'année dernière en se lançant dans une descente de la Tamise à la nage.

«J'espère avoir réussi à montrer qu'il ne devrait pas y avoir d'espaces d'eaux ouverts dans l'Arctique», a-t-il conclu. «Il ne devrait pas être possible de nager au Pôle Nord, et pourtant je viens juste de montrer que c'est possible». AP

Délation, délation, quand tu nous tiens ...

Bientôt, les mêmes questions qu'en 1940 se poseront pour chacun d'entre nous : Collabo ou Résistant ?

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Immigration: «ce n'est pas aux inspecteurs du travail de choisir leur ministre de tutelle», selon François Fillon
[26/07/2007 08:30]

PARIS (AP) -- «Ce n'est pas aux inspecteurs du travail de choisir leur ministre de tutelle», a lâché jeudi sur RTL François Fillon.

Quatre syndicats de l'inspection du travail ont annoncé vendredi le dépôt d'un recours devant le Conseil d'Etat contre les attributions du ministre de l'Immigration Brice Hortefeux, qui permettent à ce dernier d'utiliser les inspecteurs du travail dans la recherche des travailleurs étrangers illégaux.

«Le rôle des inspecteurs du travail n'est en rien modifié. Leur statut n'est pas modifié, leur indépendance est complète», a souligné le Premier ministre. Dès lors, «ce n'est pas aux inspecteurs du travail de choisir leur ministre de tutelle (...) C'est une question qui regarde le gouvernement et pas les fonctionnaires». AP




La toile se tisse, tout se met en place ... la démocratie agonise en silence ... vivement demain en Sarkoland ...

C'est pas l'aumône qu'on demande ;o((

ce sont de bonnes conditions d'affectation ...

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Un prêt "mobilité" à taux zéro pour les fonctionnaires
[2007-07-26 10:44]

PARIS (Reuters) - Les fonctionnaires peuvent désormais bénéficier d'un prêt à taux zéro d'un montant maximum de 1.000 euros pour couvrir la caution lors de la location d'un logement, annonce le ministère de la Fonction publique, une mesure visant à faciliter la mobilité dans le secteur public.

Ce "prêt mobilité", explique le ministère jeudi dans un communiqué, s'adresse aux fonctionnaires de l'Etat lors d'une première affectation ou de certains changements de résidence. Sa durée de remboursement sera de trois ans.

Merci à MAM, notre grande soeur ;o((

On va quand même se sentir davantage en sécurité comme ça, non ???

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Vidéo-surveillance: Michèle Alliot-Marie souhaite l'harmonisation des systèmes publics et privés à l'automne
[26/07/2007 11:33]

PARIS (AP) -- Michèle Alliot-Marie a présidé jeudi une réunion de travail sur le renforcement de la vidéo-surveillance en France, insistant notamment sur l'harmonisation des systèmes de contrôle utilisés par la police, les entreprises de transport, les lieux de culte et certaines sociétés privées.

L'inspecteur général Philippe Melchior, chargé du dossier, doit présenter fin septembre ses propositions. La ministre de l'Intérieur veut que «le plus rapidement possible, à l'automne prochain, nous puissions avoir un dispositif harmonisé et complet».

Mme Alliot-Marie souhaite une «possibilité d'interconnexion des images» captées par les différents types de caméra. Ainsi, la police «pourra utiliser par exemple plus facilement les caméras qui sont à l'intérieur d'une gare, qui sont dans le métro», a expliqué la ministre. Ce plan, pour lequel elle a promis des crédits importants mais non chiffrés, vise aussi à améliorer la qualité des images. «Pour être efficace, il faut que l'on puisse reconnaître les personnes», a-t-elle souligné.

Le secrétaire d'Etat chargé des Transports Dominique Bussereau, qui participait à la réunion de travail place Beauvau, a de son côté indiqué que la vidéo-surveillance serait renforcée sur les autoroutes et dans les ports. AP

Attention danger ! Que va devenir le dernier espace de liberté sous Sarko 1er ?

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Création d'une commission sur les téléchargements sur Internet
[25/07/2007 13:05]

PARIS (AP) -- Une commission va être mise en place pour réfléchir au problème du téléchargement de musique et de films sur Internet, à laquelle participera notamment le PDG de la FNAC Denis Olivennes, a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement Laurent Wauquiez.

«La commission sera mise en place par (la ministre de la Culture) Christine Albanel, mais ses conclusions seront très vraisemblablement remises directement au président de la République qui souhaite suivre ce sujet de façon importante», a-t-il précisé.

Depuis 2002, le marché du disque a diminué en France de 40% en raison des téléchargements sur Internet. «Si on continue comme ça, on va tuer la culture», a souligné Nicolas Sarkozy lors du Conseil des ministres, selon M. Wauquiez. AP

Enfin ;o))

Non mais, sérieusement, ça devenait du grand n'importe quoi.
Et ils appelent ça du sport ;o))

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Tour de France: fin de parcours pour Michael Rasmussen
[2007-07-25 23:55]

COL D'AUBISQUE (Reuters) - Le Danois Michael Rasmussen, maillot jaune du Tour de France, a été limogé par son équipe, a annoncé mercredi soir Rabobank, et il est donc exclu de la suite de la course, déjà ébranlée par le scandale Vinokourov.

Rasmussen a remporté mercredi la 16e étape, non sans avoir été hué par le public. Il a été reproché au coureur de n'avoir pas fourni aux responsables danois des contrôles anti-dopage son emploi du temps durant ses entraînements précédant le Tour.

"Il a violé les règlements de l'équipe", a déclaré un porte-parole de Rabobank.

Pour Christophe Prudhomme, directeur du Tour, "l'important n'est pas qu'il soit licencié par son équipe mais qu'il ne soit plus au départ du Tour demain matin".

La veille, après l'annonce du contrôle positif du coureur kazakh Alexandre Vinokourov, dont il s'est avéré qu'il a recouru à des transfusions sanguines homologues, Prudhomme avait prôné une "révolution" dans le cyclisme.

"Il faut faire péter le système", avait-il déclaré lors d'une conférence de presse improvisée.




La question qui reste en suspens est : " Qu'a-t-il pris durant ces quelques semaines de disparition ? "

mercredi 25 juillet 2007

C'était donc vrai ;o((



Triste à dire mais le réseau Sortir du nucléaire avait raison, Nicolas va bel et bien fournir de la technologie nucléaire à Mouammar ;o((


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Paris signe plusieurs accords de coopération avec Tripoli
[2007-07-25 22:55]

TRIPOLI (Reuters) - La France et la Libye ont signé plusieurs accords de coopération, dont un "memorandum d'entente" dans le domaine du nucléaire civile et un accord portant sur l'industrie de défense, à l'occasion de la visite du président français à Tripoli.

Nicolas Sarkozy et le numéro un libyen, Mouammar Kadhafi, ont présidé à la signature de ces accords qui interviennent au lendemain de la libération de cinq infirmières bulgares et d'un médecin palestinien détenus en Libye depuis plus de huit ans.

"L'objectif est de coopérer en vue de l'installation en Libye d'un réacteur nucléaire pour fournir de l'eau potable à partir d'eau de mer dessalinisée", a expliqué mercredi à des journalistes le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, qui accompagne le chef de l'Etat.

Ce "mémorandum d'entente sur la coopération dans le domaine des applications pacifiques de l'énergie nucléaire" est l'un des documents signés par le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, qui accompagne le président français, avec son homologue libyen Mohammed Abdel-Rahman Chalgam.

Claude Guéant a souligné que c'était "un signal fort".

"Cela signifie qu'un pays qui respecte les règles internationales peut accéder à une industrie nucléaire civile", a-t-il dit.

[NDG : Ouh, la bonne excuse que voilà en effet. Comment faire passer l'amère pillule ;o((]

Il faisait allusion à l'Iran, qui est accusé de ne pas respecter les règles internationales en matière de non prolifération nucléaire.

La Libye a annoncé de son côté en 2003 qu'elle renonçait à développer des armes de destruction massive.

...

On the rocks, la planète ;o))

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La glace, alternative à l'air conditionné à New York --par Colleen Long--
[24/07/2007 16:20]

NEW YORK (AP) -- Dans la chaleur de l'été à New York, les appareils de climatisation tournent à plein régime poussant le réseau électrique dans ses retranchements. Un système alternatif de refroidissement de l'air fonctionnant avec des blocs de glace permet toutefois à la «Grosse Pomme» de réaliser des économies d'énergie appréciables tout en réduisant la pollution.

Le dispositif, adopté par certains immeubles de bureaux, permet aux entreprises d'alléger leur facture d'électricité et également de réduire la sollicitation du réseau électrique, ce qui représente un bénéfice important pour la ville, qui consomme plus de courant les jours de forte chaleur que l'ensemble du Chili.

Autre avantage: il réduit la pollution. Le système de refroidissement par glace des bureaux du Crédit Suisse dans la tour Metropolitan Life à Manhattan équivaut par exemple, en termes de gain pour l'environnement, à retirer 223 voitures de la circulation.

Un argument écologique loin d'être négligeable dans une ville où l'essentiel des émissions de dioxyde de carbone (CO2) est lié au fonctionnement des bâtiments. De l'électricité étant nécessaire pour fabriquer la glace, l'eau est gelée la nuit, dans de grandes cuves, lorsque la demande en électricité est basse.

L'air froid dégagé par les blocs de glace est ensuite diffusé par des tuyaux dans le bâtiment, un peu comme l'air conditionné traditionnel. L'eau est à nouveau gelée de nuit et le processus se répète.

Le stockage de glace peut être utilisé comme unique moyen de refroidissement du bâtiment ou être combiné à une climatisation traditionnelle pour alléger la demande en électricité aux heures de forte consommation.

Crédit Suisse doit rafraîchir 180.000 mètres carrés de bureaux dans la tour Metropolitan Life, bâtiment historique qui fut un temps le plus haut de New York, bien avant l'Empire State Building. Au sous-sol, trois salles principales de refroidissement abritent des machines et 64 cuves d'une contenance de 3.000 litres chacune. Crédit Suisse possède également un système d'air conditionné traditionnel, mais ses techniciens utilisent de préférence le premier dispositif.

Selon Trane Energie Services, la société qui a installé le système à glace du Crédit Suisse, sa construction a pris quatre mois. Le groupe de services financiers envisage de l'installer dans ses autres bureaux dans le monde, mais rien n'a encore été décidé.

«L'idée non seulement d'économiser de l'argent pour les grandes sociétés mais aussi de faire quelque chose pour l'environnement, c'est du gagnant-gagnant», déclare Todd Coulard, de Trane.

Selon les ingénieurs, les baisses de consommation d'énergie réalisées grâce au système se traduisent en millions de dollars d'économies sur les factures d'électricité pour les entreprises qui l'ont adopté.

Le stockage de glace au Crédit Suisse réduit la consommation globale d'électricité des locaux de 2,15 millions de kilowatts-heure chaque année: de quoi alimenter en courant 200 logements. AP

mardi 24 juillet 2007

Mais ils sont vraiment tarés ces américains !!

Et d'aucuns (Hein, Nico ;o)) voudraient en faire un modèle ;o((

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Un enfant de 7 ans sur la liste des terroristes présumés
[24/07/2007 17:22]

FORT LAUDERDALE, Floride (AP) -- Pour la troisième fois de sa jeune vie, un enfant de sept ans a été soumis à un contrôle renforcé avant de prendre l'avion en Floride, son nom figurant sur la liste des personnes dangereuses.

Michael Martin porte semble-t-il le même nom qu'un homme soupçonné d'être un terroriste, ce qui est le cas de plusieurs autres enfants aux Etats-Unis et même de quelques hauts responsables comme la parlementaire de Californie Loretta Sanchez.

«Il a cru qu'il avait fait quelque chose de mal», a expliqué la mère du petit Michael, Krista Martin. Un peu plus tôt dans le mois, elle n'avait pas pu imprimer le coupon d'embarquement de son fils à l'aéroport international de Fort Lauderdale-Hollywood, où un agent lui avait répondu qu'il était inscrit sur l'infamante liste. «C'est comme cela depuis le 11 septembre» 2001, a-t-elle expliqué au journal «Sun-Sentinel» de mardi.

L'administration de la sécurité des transports (TSA), qui rédige la liste, a déclaré que les compagnies aériennes étaient responsables de la mise à l'écart automatique de l'enfant et une porte-parole de la compagnie AirTran a estimé que la seule façon de régler le problème avec les enfants était de les voir.

Le Michael Martin figurant sur la liste pourrait être un Irlandais condamné en 1995 pour sa participation en Arizona à un réseau qui tentait de faire parvenir des détonateurs de bombes à l'Armée républicaine irlandaise (IRA), en Irlande du Nord. La TSA refuse de communiquer sa liste. AP

st/v498

Ah, Vladimir, tu vas pouvoir en enseigner des choses à Nicolas !

Vous vous souvenez qu'il a déjà appris à notre Petit Nicolas comment boire, mais après avoir lu cet article vous concluerez comme moi que l'ami Sarko a encore beaucoup à apprendre s'il veut rivaliser avec son Vladimir préféré ;o))
Comment quoi, le KGB est vraiment une bonne école de la démagogie ;o((


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Poutine dénonce l'inspiration «coloniale» de la demande d'extradition d'Andreï Lougovoï
[24/07/2007 22:35]

MOSCOU (AP) -- Le président russe Vladimir Poutine a dénoncé mardi «la pensée coloniale» qui a conduit la Grande-Bretagne a exiger l'extradition d'Andreï Lougovoï, le principal suspect dans le meurtre à Londres de l'ancien agent du KGB Alexandre Litvinenko.

«Ils font des propositions visant à changer notre Constitution qui sont insultantes pour notre Nation et notre peuple», a-t-il dit mardi, lors d'une rencontre retransmise par la télévision avec des jeunes militants favorables à son pouvoir. «C'est leur façon de penser, pas notre Constitution, qui doit être changée. Ce qu'ils nous proposent, c'est un reste indéniable de la pensée coloniale.»

La Russie a refusé l'extradition de l'ancien agent du KGB Lougovoï en avançant que la Constitution russe interdit d'extrader les ressortissants du pays. L'ambassadeur britannique en Russie a déclaré lundi que les autorités de Moscou pouvaient décider de contourner cette interdiction si elles souhaitaient collaborer.

La semaine dernière, la Grande-Bretagne avait décidé d'expulser quatre diplomates russes, Moscou ayant pris ensuite une décision similaire.

Vladimir Poutine a estimé que la mort de Litvinenko était une «tragédie», mais il a critiqué l'insistance de la Grande-Bretagne et la suggestion de passer outre la Constitution. «Ils ont oublié que la Grande-Bretagne n'est plus une puissance coloniale», a-t-il dit. «Ils ont besoin de traiter leurs partenaires avec respect, ensuite nous leur témoigneront du respect.»

Dans une apparente allusion au magnat russe en exil Boris Berezovski ou à d'autres personnes, le président russe a aussi fait allusion à «30 personnes recherchées par nos forces de l'ordre pour avoir commis de graves crimes». «Ils n'ont pas bougé, ils n'ont même pas songé à les appeler», a accusé Poutine, la voix chargée d'émotion. «Ils n'extradent personne, même pas ceux qui sont soupçonnés d'activités terroristes. Dans le même temps, ils nous adressent des demandes excessives.»

Les services du Premier ministre britannique Gordon Brown n'ont fait aucun commentaire à ces déclarations dans l'immédiat. AP

Combien de morts faudra-t-il encore pour que nos "grands hommes" se bougent ?

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Plusieurs régions du monde frappées par des intempéries
[2007-07-24 20:56]

PARIS (Reuters) - De nombreux dérèglements climatiques allant d'inondations provoquées par des pluies torrentielles à des vagues de chaleur inédites touchent actuellement plusieurs régions du monde et ont déjà occasionné la mort de plusieurs centaines de personnes.

La Chine est frappée depuis trois semaines par des inondations meurtrières sur l'ensemble de son territoire. Selon les autorités chinoises, plus de 500 personnes seraient mortes emportées par des coulées de boue ou par des glissements de terrain.

Fortement éprouvées par des pluies abondantes et continues, des centaines de portions des digues du fleuve Huai sont sur le point de lâcher et menacent les habitations de millions de personnes, ont rapporté des médias chinois.

Au sud de la République populaire de Chine, l'Indonésie est également touchée par des pluies torrentielles, dont le bilan humain s'élevait mardi à une soixantaine de morts environ et une vingtaine de portés disparus. La région la plus touchée est le coeur de l'île de Sulawesi, où des centaines d'habitations ont été submergées.

Plus inhabituel, le continent africain est lui aussi soumis aux caprices d'une hygrométrie particulièrement élevée, touchant notamment le Soudan qui connaît là les pires inondations de son histoire.

Les pluies ont déjà détruit environ 25.000 habitations dans ce pays d'Afrique de l'Est, occasionnant lors de leur passage la mort d'une cinquantaine de personnes. Les prévisions météorologiques pour les prochains jours n'augurent aucune accalmie.

Les abords des fleuves et des cours d'eau du pays ont été évacués et environ 25.000 personnes ont été déplacées, relogées dans des tentes. Les autorités soudanaises s'inquiètent toutefois du risque de pénurie alimentaire, ainsi que des capacités limitées de relogement.

30 MORTS EN ROUMANIE DEPUIS LE DÉBUT DE LA CANICULE

En Europe, la partie méridionale du continent connaît une vague de chaleur inédite alors que la Grande-Bretagne n'avait pas été touchée par d'aussi importantes inondations depuis 60 ans.

Sous les eaux depuis la fin de la semaine dernière, la partie ouest de l'Angleterre ressemble à une zone sinistrée aux airs lacustres, en proie à de nombreuses pannes d'électricité et en manque d'eau potable.

Une femme originaire de la ville de Tewkesbury, au nord de Gloucester, qui avait dû accoucher dans l'urgence samedi avant d'être hélitreuillée a finalement perdu ses jumeaux, a annoncé mardi la police britannique.

Les intempéries avaient causé jusqu'ici la mort d'une seule personne en Grande-Bretagne, un retraité de 64 ans noyé dans sa cave dans le nord-est de l'Angleterre.

Dans un message de soutien adressé mardi aux familles des victimes et aux sinistrés, la reine Elizabeth II s'est dit "choquée et consciente de l'étendue des ravages".

De leur côté, les Balkans sont frappés depuis une semaine par une vague de chaleur meurtrière, dont le pays le plus touché reste la Roumanie. Douze personnes ont succombé mardi dans le sud du pays à de fortes températures dépassant les 40°, ce qui porte désormais le bilan de la canicule roumaine à 30 morts.

En Serbie, pompiers, militaires et volontaires sont aux prises avec une cinquantaine de feux de forêt qui s'étendent sur 2.500 hectares, alors qu'un record de chaleur vieux de plus de 81 ans a été battu à Belgrade, la capitale du pays, où le mercure a atteint mardi 43°.

Des incendies ont été également signalés en Bosnie, au Monténégro, en Grèce et en Macédoine, quatre pays également touchés par la vague de chaleur, où deux personnes au total ont trouvé la mort mardi.

En Italie, quatre personnes ont péri lors d'un violent incendie dans la région des Pouilles. Les différents foyers se sont étendus jusqu'à des plages bondées à cette époque de l'année, obligeant les forces de l'ordre à évacuer environ 4.000 vacanciers et habitants de la région.

Les deux premières victimes de ces incendies ont été retrouvées sans vie à bord de leur véhicule, alors que les deux autres personnes ont été asphyxiées sur une plage.

L'incendie s'est déclaré mardi dans le village de Peschici, dans la province de Foggia, dans la région des Pouilles.

Décidément Dany n'est pas prêt d'être invité chez Nicolas ;o))

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Daniel Cohn-Bendit craint que la France «donne» la technologie nucléaire à la Libye
[24/07/2007 23:05]

PARIS (AP) -- Après la libération des infirmières et du médecin d'origine palestinienne, le député Vert européen Daniel Cohn-Bendit, a dit craindre que la France ne «donne» la technologie nucléaire à la Libye et que le «dictateur Kadhafi» soit bientôt reçu «en grandes pompes à l'Elysée».

«Il y a des affaires de coeur, de famille, où effectivement la femme du président peut intervenir. Mais dans des négociations avec un dictateur!», s'est indigné Daniel Cohn-Bendit sur France-Info.

«Kadhafi est le grand gagnant de cette histoire (...) installé maintenant en interlocuteur valable», a critiqué le député vert, prévoyant que le colonel libyen «sera invité en grandes pompes à l'Elysée, après que la famille Sarkozy ait dîné sous la tente».

«On oublie qui est Kadhafi, quel type de pouvoir est le système Kadhafi», s'est-il indigné.

«Nous assistons en public à une grande thérapie de couple», a aussi ironisé le député allemand, estimant que ce nouveau rôle de «ministre des Affaires étrangères» de Cécilia Sarkozy signifiait «la grande défaite de Bernard Kouchner», le ministre des Affaires étrangères officiel.

«On pourrait imaginer qu'il envoie sa femme Christine Ockrent. (...) c'est quand même inimaginable!», a-t-il moqué, soulignant que cela fait «huit ans que l'Union européenne négocie».

«Je ne vois pas pourquoi on s'énerve sur le nucléaire de l'Iran si maintenant on va donner la technologie nucléaire à Kadhafi», a-t-il critiqué. «Le prix, ce n'est pas la rançon, c'est cet accord nucléaire qui se pointe à l'horizon», a-t-il déclaré, avant d'ajouter avec ironie qu'il ignorait si c'était «Cécilia ou Nicolas qui vendra(it) la centrale à Kadhafi». AP

Comme je suis mauvaise langue ;o))

Vous vous souvenez de cet article ?
Et bien voici la réponse à mes suspicions ...

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Sécurité sociale: l'Etat transférera à l'Acoss 5,1 milliards d'euros avant octobre, selon Eric Woerth
[24/07/2007 18:27]

PARIS (AP) -- Le ministre du Budget Eric Woerth assure dans un entretien au «Monde» daté de mercredi que l'Etat va rembourser 5,1 milliards d'euros au régime général de la Sécurité sociale avant octobre.

Rappelant s'être «engagé» à apurer la dette de l'Etat -»source de conflits et d'incompréhensions»- à l'égard de la Sécurité sociale, il précise qu'il doit «aussi veiller à ce que la Sécurité sociale n'ait pas de problème de trésorerie et puisse tenir avec le plafond d'emprunt que lui a voté le Parlement».

«Pour régler ce problème, l'Etat transférera à l'Aces (Agence centrale des organismes de Sécurité sociale) avant octobre 5,1 milliards d'euros, provenant des recettes déjà enregistrées de privatisation, soit l'équivalent de sa dette au régime général au 31 décembre 2006», dit-il.

Pour éviter une nouvelle dette en 2007, «nous compenserons les allégements de charges à l'euro près, quitte à modifier nos règles de gouvernance», souligne Eric Woerth.

Interrogé sur une hausse de la contribution au remboursement de la dette sociale proposée par le Sénat, le ministre du Budget explique qu'il n'est «pas favorable» à une augmentation de la CRDS ni d'ailleurs à celle de la CSG (contribution sociale généralisée) pour une «raison simple: on ne peut pas raisonner uniquement en termes de recettes», dit-il. «La clé, c'est la maîtrise de la dépense».

Par ailleurs, il déclare que «la mise en place du bouclier fiscal à 50% réduira globalement les recettes de l'Etat de 800 millions». «Quant au relèvement de l'abattement sur la résidence principale de 20% à 30%, il nous coûtera beaucoup moins, de l'ordre de 120 millions d'euros», selon lui.

Interrogé sur la préparation des lettres de plafond fixant aux ministres l'évolution de leurs crédits et de leurs effectifs, le ministre du Budget précise que «les grands arbitrages devraient être rendus par le Premier ministre avant les vacances gouvernementales». «Pour diviser par deux le rythme de progression de la dépense publique», «l'Etat doit serrer encore plus la vis et chaque ministère y contribuera», assure Eric Woerth.

Quant aux suppressions de postes de fonctionnaires de l'Education nationale, Eric Woerth ne «confirme aucun chiffre» mais cela «sera évidemment très significatif», dit-il, évoquant le nombre «très important» de départs en retraite. AP

Allez, un petit troc radioactif ...

Réseau "Sortir du nucléaire" - Fédération de 800 associations
http://www.sortirdunucleaire.fr

URGENT
Communiqué de presse du mardi 24 juillet 2007

Infirmières bulgares :
le Réseau "Sortir du nucléaire"
accuse M. Sarkozy de se livrer à un "troc nucléaire"
injustifiable avec le dictateur libyen Kadhafi.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" accuse M.Sarkozy de se livrer à un "troc nucléaire" injustifiable en proposant au dictateur libyen Kadhafi de la technologie nucléaire en échange des infirmières bulgares.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" ne commentera pas le fait que le Président français s'attribue le mérite des efforts de l'Union européenne pour faire libérer les infirmières bulgares, par contre il dénonce avec la plus grande vigueur la "monnaie d'échange" utilisée par les Sarkozy - l'épouse du chef d'Etat étant son "pion avancé" en Libye - pour arriver à leurs fins.

Promouvoir le nucléaire, et tenter d'étendre cette technologie sur la planète, est de façon générale une très mauvaise chose pour l'environnement. Mais fournir de la technologie nucléaire à un dictateur est encore plus irresponsable.

- Certes, MM Sarkozy et Kadhafi parlent de "nucléaire civil", mais l'expérience et l'actualité (par exemple en Corée ou en Iran) montrent que nucléaire civil et militaire sont intimement liés.

- Certes, M Kadhafi a officiellement renoncé à un programme nucléaire militaire, mais ce dictateur est un habitué des revirements brutaux et des pratiques dissimulatoires.

Par ailleurs, il est fort curieux que la commissaire européenne aux Relations extérieures Benita Ferrero-Waldner, chargée du dossier des infirmières bulgares, ait exprimé le 13 juillet son "agacement" devant le forcing de M Sarkozy, avant de se déclarer 6 jours plus tard "d'accord sur tout" avec M. Sarkozy. Ce dernier attribue une telle importance aux infirmières bulgares que le seul "humanisme" du Président français semble une explication un peu courte.

Alors que M Sarkozy travaille en coulisse à la constitution d'un trust nucléaire regroupant Areva, Alstom et Bouygues, on ne peut que se souvenir qu'un des amis proches du Président français n'est autre que Martin Bouygues. Et ne peut que penser que ce dernier serait certainement heureux... de construire des centrales nucléaires en Libye.

L'industrie nucléaire est globalement en déclin sur la planète (le nombre de réacteurs qui vont fermer dans les 20 ans est nettement supérieur au nombre de projets de nouveaux réacteurs), mais il apparait que c'est principalement dans les régimes fort peu démocratiques que des projets de relance du nucléaire apparaissent (Chine, Russie, Libye, Algérie, Egypte, Biélorussie, etc).

Il est inacceptable que la France fournisse de la technologie nucléaire à ces pays.

Contact presse : 06 64 100 333

Sortir du nucléaire accuse Sarkozy de "troc nucléaire" avec la Libye

Agence France Presse - 24 juillet 2007 -

Le réseau Sortir du Nucléaire a accusé mardi le président de la République Nicolas Sarkozy de se livrer à "un troc nucléaire" en proposant au numéro un libyen Mouammar Kadhafi "de la technologie nucléaire en échange des infirmières bulgares".
"Promouvoir le nucléaire, et tenter d'étendre cette technologie sur la planète, est de façon générale une très mauvaise chose pour l'environnement", souligne dans un communiqué le réseau, une fédération d'associations. Mais "fournir de la technologie nucléaire à un dictateur est encore plus irresponsable", commente-t-il.
Certes, ajoute le réseau, "MM. Sarkozy et Kadhafi parlent de nucléaire civil, mais l'expérience et l'actualité (par exemple en Corée ou en Iran) montrent que nucléaire civil et militaire sont intimement liés".
Mouammar Kadhafi a officiellement renoncé à un programme nucléaire militaire, mais "ce dictateur est un habitué des revirements brutaux et des pratiques dissimulatoires", affirme Sortir du nucléaire.
Sortir du nucléaire "dénonce avec la plus grande vigueur la monnaie d'échange utilisée par les Sarkozy - l'épouse du chef d'Etat étant son pion avancé en Libye - pour arriver à leurs fins".
Nicolas Sarkozy a annoncé mardi qu'il se rendrait en Libye mercredi pour un "déplacement politique pour aider la Libye à réintégrer le concert des nations", après la libération des infirmières et du médecin bulgares.
Il a assuré que "ni l'Europe ni la France" n'avaient "versé la moindre contribution financière à la Libye" pour obtenir la libération des infirmières bulgares et du médecin bulgare d'origine palestinienne.

Radio France Internationale


Prisonniers contre normalisation

(...)
les autorités libyennes font à nouveau monter les enchères. Elles réclament désormais des garanties sur la prise en charge médicale à vie des enfants malades, alors que la Commission européenne s'est engagée sur ce point il y a déjà plusieurs semaines. L'autre volet, plus délicat, des tractations actuelles porte sur une coopération politique renforcée entre la Libye et l’Union européenne. C’est une exigence du colonel Kadhafi. Les ministres des affaires étrangères des 27 doivent jeter aujourd'hui à Bruxelles les bases d’un partenariat qui porterait sur la lutte contre l'immigration clandestine ou encore sur une coopération économique pour la mise en place d’infrastructures. La Libye, qui vient d'abandonner son programme d’armes de destruction massive, tente notamment de négocier une coopération avec la France dans le domaine du nucléaire civil.

Concurrence Paris-Bruxelles

Le premier voyage de Cécilia Sarkozy en Libye, préparé dans le plus grand secret le 12 juin, avait passablement agacé la Commission européenne. Bruxelles est au coeur des négociations avec la Libye, depuis 3 ans, pour faire libérer les infirmières et le médecin bulgares. Le soudain activisme de l'Elysée sur ce dossier a été perçu comme une volonté de Paris de tirer la couverture à soi, à l'approche du dénouement. « C'est ce qui s'appelle voler au secours de la victoire » confiait, il y a quelques jours, un diplomate européen à Tripoli.

(...)

Source :
http://www.rfi.fr/actufr/articles/091/article_54379.asp





Réponse de Nicolas dans cet article tiré de

Interrogations sur un accord nucléaire entre Paris et la Libye
[2007-07-24 16:49]

PARIS (Reuters) - L'implication de la France dans la libération de cinq infirmières bulgares et d'un médecin d'origine palestinienne accusés d'avoir inoculé le virus du sida à des enfants libyens suscite des interrogations sur un éventuel accord nucléaire entre Paris et Tripoli.

Le réseau "Sortir du nucléaire" a accusé le président français Nicolas Sarkozy de s'être livré à un "troc nucléaire injustifiable" en proposant colonel Mouammar Kadhafi de la technologie "en échange des infirmières bulgares".

Il a jugé "irresponsable" de fournir ce type de compétences au dirigeant libyen. "Certes, M Kadhafi a officiellement renoncé à un programme nucléaire militaire, mais ce dictateur est un habitué des revirements brutaux et des pratiques dissimulatoires", a-t-il ajouté dans un communiqué.

Interrogé sur ces reproches lors d'une conférence de presse, le chef de l'Etat a déclaré : "Ca n'a absolument rien à voir. Je tiendrai des réunions cet après-midi avec Bernard Kouchner (ministre des Affaires étrangères) et le Premier ministre pour préparer mon voyage mais il était très difficile de faire un accord alors même que je ne savais si les infirmières allaient être libérées. Ca n'a absolument rien à voir"
[NDG : Encore une de ces phrases tellement présidentiellement alambiquée que l'on n'y comprend rien ;o))].

Nicolas Sarkozy doit se rendre mercredi en Libye avec Bernard Kouchner. "J'aurai l'occasion, demain (...) d'effectuer un déplacement politique (...) en Libye pour aider la Libye à réintégrer le concert des nations", a-t-il souligné.

La Libye cherche des sources alternatives aux matières fossiles pour sa production d'électricité. Elle envisage de recourir au nucléaire civil dans le cadre des procédures de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA).

Areva, leader mondial du nucléaire, a été approché par le régime de Tripoli pour faire une offre.

"On a bien été sollicité", a dit à Reuters un porte-parole du groupe français en ajoutant toutefois que rien ne pourrait se faire dans accord bilatéral et sans agréments internationaux.

Et vive la privatisation !!

Ca vient doucement chez nous mais en Espagne, c'est déjà en place pour l'électricité. Voici le résultat ...

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Plusieurs dizaines de milliers de foyers toujours privés de courant à Barcelone
[24/07/2007 17:06]

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BARCELONE (AP) -- Plusieurs dizaines de milliers de foyers et d'entreprises de Barcelone (nord-est) étaient privés de courant mardi pour la deuxième journée consécutive, au lendemain d'une panne majeure qui a plongé dans le chaos la deuxième ville d'Espagne.

Au total 350.000 foyers ont été touchés par la panne affectant hôpitaux, transports publics, habitations et commerces. Selon la compagnie Fecsa Endesa, le courant devait être rétabli dans la journée de mardi pour 50.000 abonnés de Barcelone.

La municipalité de cette ville de 1,6 million d'habitants et la presse ont exprimé leur colère, réclamant des compensations à Fecsa Endesa et Red Electrica de Espana, les entreprises gestionnaires du réseau électrique. «Nous n'accepterons pas d'endurer une nouvelle nuit comme celle-ci», a prévenu le maire de Barcelone Jordi Hereu, en invitant les compagnies concernées à réparer la panne rapidement.

La Catalogne, dont Barcelone est la capitale, paye 25% de la facture totale de l'électricité en Espagne, mais de reçoit que 15% des fonds pour la maintenance, a déploré le journal El Periodico.

La panne a été provoqué par la chute d'un câble dans une sous-station, ce qui a provoqué une réaction en chaîne dans sept autres sous-stations, dont l'une a pris feu. Les pompiers ont été submergés d'appels d'habitants bloqués dans les ascenseurs, tandis que des policiers ont été déployés aux principaux carrefours pour assurer la circulation. On ne déplore pas de victimes. AP

Bientôt du BIO en Bretagne ;o))

Paru dans l'édition de Ouest France du samedi 21 juillet 2007



Qualité de l'eau : la Bretagne dos au mur !

Six semaines pour convaincre la commission européenne de ne pas saisir la Cour de justice. Michel Barnier, ministre de l'Agriculture, l'a dit, hier, devant des agriculteurs en évoquant la qualité de l'eau.
« Nous sommes le dos au mur. Nous avons jusqu'à début septembre pour faire la preuve de notre bonne volonté et convaincre la Commission européenne de ne pas saisir la Cour de Justice européenne. » Michel Barnier, le ministre de l'Agriculture et de la pêche, l'a dit et répété, hier, devant des agriculteurs, à Trémeur dans les Côtes-d'Armor, où la rencontre fut courtoise, puis à Ploudaniel, dans le Finistère, où elle fut très tendue. « La France respectera les engagements pris à Bruxelles, a t-il poursuivi. Il existe depuis 1975 une Directive européenne sur l'eau que la France a approuvée. Nous sommes en 2007. Nous voici sous la menace d'une pénalité de 28 millions d'euros et d'une astreinte journalière de 118 000 € par jour ! C'est de l'argent public, de l'argent du contribuable ! On ne peut laisser faire cela ! »

Le ministre est venu sur le terrain « parler aux agriculteurs, les yeux dans les yeux, et rétablir le dialogue et la confiance ! » Il sait qu'il a le soutien de l'opinion publique. Mais il sait aussi qu'il ne fera « rien contre eux, ni sans eux. » Il leur apporte un plan de mesures pour rétablir enfin cette qualité de l'eau, avec 60 millions d'euros à la clé, pour aider à faire passer la pilule.

« Toutes les marges de flexibilité possibles... »

Et la pilule passe mal. « C'est la première fois, proteste Olivier Allain, président de la chambre d'agriculture, que l'on nous sort ainsi un train de mesures en catimini, sans consultation. Nous avons pourtant fait des efforts. Les agriculteurs bretons ont investi un milliard d'euros dans ce combat pour la qualité de l'eau. Sur 37 bassins versants en contentieux à la fin des années 90, il en reste 9, dont cinq sont pratiquement assainis. »

Michel Barnier reconnaît les efforts faits et les salue. Il n'empêche. « Je veux régler ce problème dans une approche humaine, dit-il en insistant. Ce qui m'intéresse, ce sont les hommes et les femmes sur ces 1 800 exploitations concernées. Mais la commission n'a plus confiance en la France. Nous ne pouvons revenir sur les objectifs que nous avons présentés à Bruxelles. Ils seront respectés. Si on va en justice, tout le monde en pâtira. Mais j'utiliserai toutes les marges de flexibilité possible. »

La mesure phare de ce plan consiste à réduire l'apport total d'azote à 140 unités par hectare. En clair, tous les agriculteurs sur ces bassins versants ne pourront épandre sur chaque hectare plus de 140 kg d'engrais azoté, acheté dans le commerce ou issu de leur élevage. Cela remet en cause leur plan d'épandage calculé sur la base des 170 unités fixées par la Directive européenne. « Je crains que 30 % des agriculteurs ne quittent prématurément la terre, souligne Olivier Allain, et que plus aucun jeune ne s'installe. Que deviendront alors les emplois, quand on sait qu'un agriculteur induit entre 3 et 5 emplois ? » s'interroge t-il, fortement approuvé par des responsables de coopératives venus à la rencontre du ministre.

« Désormais, nous nous inscrirons sur des installations en agriculture durable, » lui répond ce dernier. Il n'est certes pas trop tard. Mais il eût fallu le faire plus tôt !

Jean LE DOUAR.



Et ce n'est pas mes amis reconvertis dans l'agriculture biologique qui vous contrediront monsieur LE DOUAR. Depuis le temps qu'ils espèrent être reconnus ...

lundi 23 juillet 2007

Une première bavure sous Sarko 1er ...

Vous avez dû en entendre parler aujourd'hui à la radio, alors voilà l'article de Karl Laske :
http://indociles.blogs.liberation.fr/laske/2007/07/les-lgumes-illg.html

La vidéo de Damien réalisée avec son téléphone portable (Enfin un intérêt de cet appareil, AMHA - Tiens, je viens d'en trouver un autre ;o)) :



La suite est à lire ici
http://indociles.blogs.liberation.fr/laske/2007/07/josiane-raconte.html

De l'eau, de l'eau, que d'eau ...

C'est exactement un article de ce genre auquel je pensais hier en parcourant ces deux là : this and that et même celui-là (qui m'avait échappé ;o((



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Les inondations sont-elles la preuve du changement climatique ?
[2007-07-23 07:13]

par Douwe Miedema

BRIESKOW-FINKENHEERD, Allemagne (Reuters) - Peter Schneider est un pêcheur qui sait que les inondations arrivent chaque année et les juge bonnes pour ses affaires; mais pour d'autres, ce phénomène dont des experts annoncent la recrudescence n'est pas une bonne nouvelle.

"Nous les pêcheurs nous avons toujours vécu avec ça. Nous sommes contents quand les inondations arrivent, parce que cela ne peut être que bon pour le poisson", explique-t-il dans son village proche de l'Oder, qui marque la frontière entre l'Allemagne et la Pologne.

L'entreprise de Schneider a frôlé la faillite il y a dix ans: le fleuve avait forcé les digues protégeant un secteur situé en-dessous du niveau de la mer, dans cette région qui appartenait autrefois à l'Allemagne de l'Est. L'eau avait envahi le bâtiment où il conserve ses bateaux et ses filets.

La catastrophe a contraint des milliers de personnes à quitter leur foyer en Allemagne et ailleurs, et des experts affirment à présent que le changement climatique peut provoquer d'autres catastrophes en Europe et dans le reste du monde.

"Il serait malavisé de nier l'impact possible du changement climatique sur les inondations parce que si nous (attendons d'autres) preuves statistiques, il pourrait être trop tard", juge Wolfgang Grabs, de l'Organisation météorologique mondiale des Nations unies.

L'ASIE NOYÉE

Un air plus chaud peut retenir plus d'eau et libérera plus d'énergie quand la météo se détériorera, souligne Grabs, ce qui rendra les tempêtes plus violentes et accroîtra les chutes de pluie. Ce mécanisme pourrait expliquer la hausse, observée ces dix dernières années, des inondations subites en Europe [NDG : Et puis, il y a aussi le problème soulevé par Claude Bourguignon ...], ajoute-t-il.

Schneider, le pêcheur, affirme que les inondations offrent davantage d'eau chaude aux poissons pour leur reproduction, et plus de nourriture, mais la plupart des gens ne les voient pas d'un oeil positif.

Ces dernières semaines, une partie de la Chine a reçu ses plus fortes précipitations depuis le début des mesures. Elles ont fait plus de 400 morts. Quelque 770 personnes ont péri dans des inondations en Asie du Sud, où des centaines de milliers de personnes ont été chassées de chez elles par des inondations-éclair au Pakistan.

La semaine dernière, des milliers de victimes d'inondations en Grande-Bretagne ont réparé les dégâts et s'attendaient à de nouvelles inondations dans le nord du pays. La Grande-Bretagne a dû mettre en place la plus grande opération de secours de son histoire en temps de paix.

Le prix des céréales en Europe a atteint un plus haut de près de dix ans en raison des craintes de voir la météo affecter les récoltes de cet été et jouer sur l'inflation.

7.000 MORTS EN 2006

Au printemps déjà la sécheresse avait nui au blé dans toute l'Europe et en Ukraine. Depuis juin, les fortes pluies sur l'Europe occidentale alimentent les craintes quant à la qualité des céréales.

Les inondations ont tué plus de 7.000 personnes dans le monde l'an dernier, selon une récente étude du réassureur Swiss Ré, soit un tiers de toutes les victimes de catastrophes naturelles telles que les tempêtes, les séismes, les sécheresses et le froid ou le chaud extrêmes.

Les données recueillies par les assureurs - qui pour mesurer la gravité d'une catastrophe évaluent son coût sans se soucier du bilan - montrent aussi que le climat change.

"Un seul événement ne peut pas être un signe de changement climatique", estime Jens Mehlhorn, qui dirige une équipe d'experts des inondations chez Swiss Ré.

"Mais quand on voit une série d'événements de ce type - et c'est la forme que ça prend actuellement (...) - il pourrait être temps de dire que quelque chose est en train de changer", ajoute-t-il.

Les inondations qui ont frappé cette année la Grande-Bretagne sont un événement qui, au plan statistique, ne devrait se produire qu'une fois tous les 30 ou 50 ans, affirme Mehlhorn. Les inondations de 2000 s'inscrivaient quant à elles dans un cycle de 25 à 30 ans.

Or subir deux événements de ce type en seulement sept ans, sans être statistiquement impossible, est peu probable. D'autres pays ont constaté un accroissement de la fréquence de telles catastrophes.

Si les Britanniques en sont encore à se demander s'il faut construire dans les plaines inondables, aux Pays-Bas - où beaucoup vivent bien en-dessous du niveau de la mer - les habitants de certaines villes construisent des maisons flottantes ou sur pilotis.

Le pays va aussi moderniser, pour un milliard de dollars, une digue de 30km de long qui protège une bonne partie du pays [NDG : Toujours pareil, les décideurs ne savent que guérir, prévenir c'est trop demandé, ça imposerait un changement sociétal complet ;o)) ].




Et comme si ça ne suffisait pas pour la démonstration, voilà que tombe cette nouvelle ;o((

Mais quand les femmes cesseront-elles de tomber dans ce piège ?

Et accepteront-elles d'être elles-mêmes ?


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De plus en plus de femmes trentenaires se font soigner pour des troubles alimentaires --par Ami Forliti--
[23/07/2007 07:31]

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MINNEAPOLIS (AP) -- Les troubles de l'alimentation, comme l'anorexie et la boulimie, ont longtemps été considérés comme des maladies de jeunes. Mais selon des experts, de plus en plus de femmes âgées de 30, 40 voire 50 ans demandent de l'aide pour guérir de ces troubles.

Certains centres de traitement aux Etats-Unis créent même des programmes spéciaux s'adressant à ces patientes plus mûres.

Selon le directeur d'un service de traitement des troubles alimentaires à la clinique Mayo de Rochester, dans le Minnesota, la plupart des femmes de ces groupes d'âge qui consultent pour ce type de problèmes en souffrent depuis des années.

Les spécialistes des troubles alimentaires formulent plusieurs hypothèses pourquoi plus de femmes ayant dépassé la trentaine se font soigner pour ce qui est habituellement un problème de jeune femme: une plus grande sensibilisation de la population, la pression sociale poussant à la minceur et le vieillissement de la génération du «baby-boom». Non seulement cette tranche de la population est-elle aujourd'hui plus importante, mais elle a aussi toujours été plus consciente de son image.

Selon Holly Grishkat, directrice des programmes en clinique externe du Renfrew Center, un réseau de centres de traitement de l'est des Etats-Unis, les femmes de plus de 30 ans qui viennent se faire soigner se répartissent en trois catégories: celles souffrant d'un trouble alimentaire depuis plusieurs années, celles qui étaient en rémission, mais dont le problème a refait surface à cause d'une nouvelle source de stress dans leur vie (divorce, mort d'un proche), et celles ayant développé un trouble alimentaire tard dans la vie. Ce troisième groupe étant le plus réduit.

Les femmes adultes ont à composer avec des problèmes que les adolescentes n'ont pas -travail, divorce, familles reconstituées, parents vieillissants, selon d'autres experts. Elles affrontent également le processus du vieillissement, ou l'impact des grossesses, qui modifient leur apparence physique. AP

Comment Sarkozy creuse le trou de la sécu ...

... et comment il veut que nous travaillons davantage pour le combler ;o((

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Un rapport du Sénat prône une nouvelle réforme des retraites
[2007-07-23 09:36]

PARIS (Reuters) - Le sénateur UMP Alain Vasselle se prononce dans un rapport pour une nouvelle réforme des retraites avant 2012 et note l'insuffisance des ressources de la Sécurité sociale face aux nouveaux allègements de charges.

Le sénateur de l'Oise juge notamment "indispensable" la réforme du dispositif de retraite anticipée pour les carrières longues qui "n'est plus soutenable sur le plan financier", dans ce texte, approuvé par la commission sociale du Sénat et cité lundi dans Le Figaro.

Alors qu'un rendez-vous sur les retraites est prévu en 2008, Alain Vasselle estime qu'il faut accélérer la réforme de 2003, "écarter la perspective d'une hausse des cotisations et privilégier la poursuite de l'augmentation progressive de la durée d'activité".

Le sénateur propose également d'instaurer un système plus contributif, sur le modèle du système suédois, dont "la variable d'ajustement principal serait l'âge de départ en retraite".

A court terme, le rapport souligne "l'insuffisance dramatique" des ressources affectées à la sécurité sociale pour compenser les exonérations de charges décidée au nom de l'emploi.

Il manque déjà 850 millions d'euros, note Le Figaro, et bientôt 6 milliards de plus avec la détaxation des heures supplémentaires.

Le débat d'orientation sur les finances sociales aura lieu mardi au Sénat.

dimanche 22 juillet 2007

Dernier épisode du feuilleton ???

Vous savez, celui-ci ;o))

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Pas de service minimum pour les écoles, affirme Henri Guaino
[2007-07-21 11:13]

PARIS (Reuters) - Il n'est pas prévu d'introduire un service minimum dans l'Education nationale, affirme Henri Guaino, conseiller spécial du président Nicolas Sarkozy.

"Ce à quoi il faudra réfléchir, c'est à l'obligation d'accueillir les enfants même les jours de grève dans le primaire", dit-il dans un entretien que Le Monde publie samedi.

"Il n'est pas prévu de service minimum de l'éducation", ajoute toutefois celui qui fut la "plume" de Nicolas Sarkozy pendant la campagne électorale.

Selon un sondage CSA que Le Parisien publie samedi, 69% des Français sont favorables à la mise en place d'un service minimum dans les écoles les jours de grève.

Un projet de loi actuellement présenté au Parlement à la faveur de la session extraordinaire porte sur la création d'un service minimum dans les transports publics terrestres à partir du 1er janvier 2008. Il a été adopté par le Sénat jeudi et les députés l'étudieront à partir du 30 juillet.

La possibilité, évoquée par le Premier ministre, François Fillon, d'étendre cette mesure à d'autres secteurs du service public, comme l'Education nationale, a déclenché un tollé chez les syndicats enseignants et des critiques de l'opposition.

Le chef du gouvernement, en déplacement vendredi dans le Var, a été interrogé à nouveau sur cette question et répondu qu'il fallait "plus de dialogue social dans l'Education nationale" et que "les enfants soient accueillis" les jours de grève.


samedi 21 juillet 2007

Il a juste voulu faire comme Bill Clinton ;o))

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Le fils d'Al Gore inculpé pour détention de marijuana
[21/07/2007 12:35]

LAGUNA NIGUEL, Californie (AP) -- Le fils de l'ancien vice-président américain Al Gore a été inculpé vendredi en Californie pour détention de marijuana et de médicaments pour lesquels il n'avait pas d'ordonnance. Les autorités ont dit avoir découvert les produits dans sa voiture ce mois-ci alors qu'il venait d'être arrêté pour excès de vitesse.

Al Gore III, 24 ans, a été libéré contre une caution de 20.000 dollars (14.490 euros) et son affaire sera jugée le 1er août devant un tribunal de Laguna Niguel, en Californie. Il est passible d'une peine maximum de trois ans et huit mois de prison s'il est reconnu coupable de tous les faits qui lui sont reprochés.

Il avait déjà été arrêté en 2003 pour détention de marijuana. Al Gore III, qui est le plus jeune des quatre enfants d'Al Gore, vit actuellement à Los Angeles. AP

Mais oui, Vladimir, elle est belle ta démocratie !!!

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Un militant écologiste tué dans l'attaque de son campement en Russie
[21/07/2007 18:44]

MOSCOU (AP) -- Des assaillants munis de barres de fer se sont attaqués au campement de manifestants écologistes devant une usine d'enrichissement de l'uranium en Sibérie samedi matin, tuant une personne et en blessant plusieurs autres, selon une porte-parole de l'administration locale.

Selon des témoins, les assaillants, vêtus de noir, ont entonné des slogans nationalistes pendant qu'il saccageaient les tentes des activistes dans une forêt près d'Angarsk, à environ 4.200 kilomètres à l'est de Moscou. La police a cependant refusé de valider l'hypothèse de groupes d'extrême-droite.

Huit personnes ont été hospitalisées, dont une est décédée ultérieurement de ses blessures, selon une porte-parole de la ville d'Angarsk.

La police a annoncé avoir détenu quatre des 15 assaillants.

En France,le réseau Sortir du nucléaire a fait part de «sa plus grande émotion et sa colère», soulignant ne pas écarter «l'hypothèse d'une agression encouragée par les autorités russes et le lobby nucléaire».

Les écologistes russes craignent que le centre d'Angarsk ne devienne une usine de traitement de déchets nucléaires. AP


Olé, euh non tolllé en Espagne ;o))

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Tollé après l'interdiction d'une caricature du prince en Espagne
[2007-07-21 19:19]

MADRID (Reuters) - Les médias espagnols s'indignent samedi d'une décision de justice imposant le retrait des kiosques d'une revue comportant une caricature du prince héritier faisant l'amour avec son épouse.

Le dessin paru dans El Jueves était censé illustrer une décision du gouvernement d'accorder aux parents 2.500 euros par naissance afin d'encourager la natalité.

"Imagine que tu tombes enceinte, ce serait la première fois de ma vie que j'aurais bossé...", dit le prince Felipe à la princesse Letizia.

Habituellement, les médias espagnols s'abstiennent de parler de la vie privée des membres de la famille royale mais, samedi, ils s'indignent de la décision prise la veille par le juge Juan del Olmo à l'encontre d'El Jueves.

El Mundo (droite), reconnaît que la caricature peut choquer, mais souligne qu'elle reste "dans le cadre de ce qui est admissible dans une société où la liberté d'expression est une valeur fondamentale".

El Periodico, revue publiée à Barcelone, va plus loin en qualifiant la décision d'anachronique et en estimant qu'elle évoque la censure pratiquée sous la dictature de Francisco Franco.

Seul ABC (droite) défend la mesure en disant que la caricature est symptomatique "d'un climat de relâchement sans cesse croissant des valeurs civiques et morales".

Tous les journaux s'accordent à dire que l'interdiction de la caricature n'a fait qu'attirer l'attention sur elle et à la diffuser bien au-delà des 80.000 lecteurs habituels d'El Jueves".

"L'image, vue par des milliers de personnes, a été mise en ligne sur de multiples sites internet en Espagne et à l'étranger et elle sera maintenant vue par des dizaines de millions de personnes", souligne El Mundo. "Même le pire ennemi de la couronne n'aurait pu avoir un tel effet".